ya les ponts des suicides 

le pont en dessous de chez amandine. ya qu’une route pour aller chez elle, ce pont. une fois j’y ai rejoins ma grand-mère, elle m’a montré le bat en face. c’était l’usine où elle a eu son premier vrai travail, une usine de lingerie je crois. je sais plus combien de temps elle y est rester, un an, peut être plus. elle logait chez une cousine. ce batiment vide où j’ai passé la nuit. puis elle m’a dit tu vois le pont. ma cousine , elle a sauté deux fois dce pont. elle en est pas morte. la pauvre elle a du souffrir. le pont traverse l’autoroute pour lyon. on l’a prend souvent. maintenant j’y pense toujours, il est jaune.

ya le pont de mémé
 
elle a accouché seule trois fois. la dernière fois elle est rentré seule. elle etait trop pauvre. le père ne voulait pas les reconnaître. il était violent.  
pour aller accoucher à l’hopital, elle a du marcher, c’était à l’autre bout de grenoble. pour aller à la tronche faut traverser l’isère. le pont elle a faillit pas ltraverser. elle voulait l’emjamber. un bébé ou dans l’isère. au fond de l’isère. elle et son bébé. mon grand-père le premier. le préféré. celui qui marchait en chaussure dans l’appart alors que nous, on mettait les patins pour pas abimer le lino. mémé elle a rencontré sa dernière fille tard, quand elle les a récupérer. c’était de sa faute si on lui a enlever ses enfants, elle a été méchante avec elle. françsoise faisait tout à la maison. le jour de ses 21 ans elle est partit, comme sa mère. mémé a attendu françoise sur son lit de mort, c’était ses excuses. 

ya le pont dl’entré du village. le péage 

un jour elle a compris qu’elle était sensé aimé sa mère. elle s’en ai toujours voulu. 
la petite au beret rouge quitte le village, pour la ville et les grandes tours. c’est a ce moment qu’elle va vivre avec ces parents pour la première fois. elle parle pas de cette période, si du béret rouge à la rentrée. elle m’a dit qu’elle ne veut pas m’en parler, qu’elle était triste. son seul répis c’est d’aller à la cabine téléphonique appeler (sa) mémé. c’est chez elle qu’elle habitait jusque là, dans un batiment bleu du grand trou. elle comprenait pas pourquoi elle devait vivre avec ces parents. tous les dimanches quand ils venait la chercher c’était la crise. il faut partir de chez mémé, passer au dessus de la rivière. le silence sur la route du retour, c’est là qu’elle a réaliser les paroles de sa mère, qu’un enfant ai sensé aimé sa mère. elle a 7 ans. à ce moment là elle décide de l’aimer. pour plus jamais lui faire mal comme ça.